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© 2019, Compagnie BAL Arts Légers — Compagnie de théâtre
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B.A.L., un théâtre frais, simple et aussi profond que vous le voudrez.

 

Mars gagne du terrain. En abordant des sujets graves comme la guerre, BAL souhaite répondre aux interrogations, aux peurs des enfants, aux non-dits. Avec l’Oiseau et l’Enfant-Samouraï joué lors des vacances dans les bibliothèques niçoises, ils suivront l’exil du petit Akiko à qui la guerre a tout pris. Les collégiens de Nice le découvriront à la rentrée, ainsi que les élèves monégasques.

Sur un autre terrain (parfois glissant), notre Dispute amoureuse se fait la chambre d’écho des passions, des dépits et des tensions, où les mots sont des armes, quand l’amour-propre est blessé. 

En parlant de mots, la pauvre Zoémie ne les retrouve plus ! Pourquoi des mots tous les jours disparaissent ? En l’honneur de la Francophonie, à Villeneuve-Loubet, Azerty et les mots perdus donne âme au langage, pour le salut de nos propos.

Au Printemps des Poètes, voici Charles Bukowski en état de grâce, dans des pages sensibles qui tiennent à distance les vapeurs sulfureuses de sa réputation.

Et sur la scène du Stockfish, les candidats au concours Ma Thèse en 180 secondes entrainés par BAL expliqueront leur recherche de 3 ans en moins de 500 mots, un vrai défi pour eux et une belle performance en vue !

Nos partenaires

Ils  
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La Compagnie B.A.L. ne m’en voudra pas si je lui adjoins trois autres lettres : TTT pour la résumer (Théâtre Tous Terrains).
Théâtre qui sent le frais et les légumes verts, langues mises au goût du jour, et qui ne craint pas de citer ses pères tout en leur mettant des bâtons dans les roues.
Tous les âges y sont conviés comme lors d’une fête, où l’art de la pirouette se dérange à côté des tragédies quotidiennes. Faire Feu de tous bois avec trois fois rien. Les genres s’emmêlent les pinceaux. Tableaux généreux et dérisoires du monde sous une loupe.
Terrains glissants des jardins, des chapelles, des rues, des écoles et des médiathèques. C’est qu’ici la scène s’exporte comme si ses limites tenaient dans un arrosoir.

— Sophie Braganti

Écrivain

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Les idées foisonnent L'imaginaire nourri d'illusion et de dérision vous emporte L'écriture est inventive, subtile et pleine d'esprit Les mots chantent et dansent, Les comédiens s'envolent . La mise en scène est sobre et dynamique à la fois. Quelle profondeur dans la légèreté ! A quand la nouvelle création ? Le nouveau bal ? Je reste fidèle et inconditionnelle ... à l'infini !

— Monique LOUDIERES

Directrice artistique de l'Ecole Supérieure de Danse de Cannes Rosella Hightower

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Il était une fois… Le Théâtre ! Immense épopée que celle de ce géant protéiforme aux mille visages, aux mille bouches, aux mille voix, né dans la lumière des dieux grecs et qui n’en finit pas de se transformer et de renaître avec, par delà la ligne du présent, d’autres avatars à ce jour encore inconnus. Et voilà que la compagnie B.A.L. décide d’enfermer ce génie qui, tour à tour, chante, hurle, chuchote ou sanglote dans une minuscule boîte de Pandore ! (…) Courons vite les rencontrer pour connaître ou reconnaître ces vieux héros toujours si jeunes qui n’en finissent pas de s’adresser à nous par delà les siècles… Laissons nous charmer, écoutons-les nous parler de nous !

— Catherine JORDI

Inspectrice de l’Education nationale

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Je voulais absolument vous dire avec quel plaisir j’ai suivi votre dérive bucolicogustative dans les jardins de Valrose. J’ai le souvenir d’une atmosphère bonhomme, ingénue mais aussi pétillante d’esprit que le théâtre nous offre si rarement ; un grand moment d’apaisement qui se lisait sur les lèvres souriantes de tous les participants surpris de découvrir ce qu’ils côtoient depuis toujours et peut-être aussi quelque chose d’eux-mêmes qu’ils avaient oublié.

— Paul LAURENT

Metteur en scène

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Nous avons fait le Tour de l’Infini, au jardin botanique de la Villa Thuret. Le public - nombreux, curieux, est reparti comblé. Que du plaisir, de l’émotion, des éloges, aussi bien sur le texte que sur son expression. Merci pour ce cadeau.

— Catherine DUCATILLION

INRA, Jardin Botanique de la Villa Thuret

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Comment raconter – et surtout montrer 2500 ans de théâtre en 55 minutes de scène, comment dérouler le fil qui va de Sophocle à Koltès, et ce challenge, en faire du théâtre? Impossible, dites-vous ? Que nenni ! Thierry Vincent l’a bien fait, lui !

— Jacques BARBARIN

Journaliste

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Les tours et détours d’une compagnie qui virevolte avec plaisir et talent dans des jardins qui tout à coup prennent un jour nouveau, une vraie respiration : une obligation d’accueillir de tels acteurs !

— Alain DEREY

Directeur de la Villa Arson, Centre National d’Art Contemporain

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Nous avons assisté à votre spectacle ce soir au Jardin de Valrose et nous l’avons trouvé magnifique. Merci pour cette très, très belle soirée !

— Robert ADELSON

Musée du Palais Lascaris

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Bravo pour la «comédie jardinière» à laquelle j’ai assisté, pour l’idée, le texte, l’interprétation, la mise en espace. J’espère que ce type de «mise en pré» sera renouvelé...

— Dominique LAREDO

Université de Nice Sophia Antipolis