B.A.L., un théâtre frais, simple et aussi profond que vous le voudrez.
Mars gagne du terrain. En abordant des sujets graves comme la guerre, BAL souhaite répondre aux interrogations, aux peurs des enfants, aux non-dits. Avec l’Oiseau et l’Enfant-Samouraï joué lors des vacances dans les bibliothèques niçoises, ils suivront l’exil du petit Akiko à qui la guerre a tout pris. Les collégiens de Nice le découvriront à la rentrée, ainsi que les élèves monégasques.
Sur un autre terrain (parfois glissant), notre Dispute amoureuse se fait la chambre d’écho des passions, des dépits et des tensions, où les mots sont des armes, quand l’amour-propre est blessé.
En parlant de mots, la pauvre Zoémie ne les retrouve plus ! Pourquoi des mots tous les jours disparaissent ? En l’honneur de la Francophonie, à Villeneuve-Loubet, Azerty et les mots perdus donne âme au langage, pour le salut de nos propos.
Au Printemps des Poètes, voici Charles Bukowski en état de grâce, dans des pages sensibles qui tiennent à distance les vapeurs sulfureuses de sa réputation.
Et sur la scène du Stockfish, les candidats au concours Ma Thèse en 180 secondes entrainés par BAL expliqueront leur recherche de 3 ans en moins de 500 mots, un vrai défi pour eux et une belle performance en vue !